GRAND PRIX FACE A LA MER 2022
- 3 000 € dotation permise par NFiniti et par la fondation Yzza Slaoui
- Une place dans la formation professionnalisante Transmission by Hans Lucas (valeur 4.000euros)
- Un espace pro dans le réseau Hans Lucas et Face à la mer
- un abonnement à Pixtrakk
- un accompagnement professionnel par Lorenzo Virgili
LAUREAT Grand Prix face a la Mer 2021 – Amine Houari
Amine Houari. Photographe âgé de 21 ans, Amine propose avec sa série Territoires, un voyage dans un paysage marocain énigmatique. “C’est une exploration architecturale des espaces périurbains de mon pays, décrit-il. Les constructions prennent des allures et des formes mystérieuses, intrigantes et parfois même surréalistes. Toutes pourtant sont réalisées avec un désir sincère d’appartenance et d’ancrage au territoire local.”
LAUREAT Grand Prix face a la Mer 2019 – SEIF KOUSMATE
Seif Kousmate. Photojournaliste autodidacte spécialisé dans les questions sociales, né en 1988 à Essaouira, Maroc. A 17 ans, il s’installe en France, étudie l’ingénierie et commence à travailler dans ce secteur après avoir obtenu son diplôme de master. Quelques années plus tard, il a décidé de quitter son poste et de voyager en Asie du Sud-Est, au Japon et au Canada. Il a ouvert un blog itinérant de photographie, partageant ses histoires et rapportant son voyage. C’est ainsi que Seif s’est lancé dans le domaine et a pris la décision de se bâtir une carrière de photographe professionnel. Il a suivi le programme » Seeing through Photographs » offert par le MoMA de New York. Fin 2016, Seif est retourné dans son pays natal et a travaillé avec une société de production locale sur un reportage sur la vie hivernale dans un village isolé de l’Atlas. En 2017, Seif a vécu plusieurs semaines dans les montagnes du Gourougou afin de rendre compte des migrants subsahariens en attente de franchir la frontière avec l’Europe. En mars 2018, il a commencé à travailler sur l’esclavage traditionnel en Mauritanie où il a été arrêté et expulsé par les autorités pour avoir travaillé sur une question taboue et censurée.
Pour lui, le photojournalisme est sa contribution à changer le monde qui l’entoure et à développer les mentalités.